Après avoir conquis 180 centres-villes par son positionnement démocratiquement gourmand et ses produits délicieusement sympas, La Mie Câline s’offre un nouveau levier de croissance : la périphérie d’agglomération. Saint-Quentin, Flers, Ancenis ont déjà adopté la formule. L’enseigne revoit ses objectifs de développement à la hausse.
Déterminée à prendre de nouvelles parts de marché, La Mie Câline lance un concept de périphérie d’agglomération. Avec plus de 200 terminaux de cuisson en France principalement implantés en centre-ville, l’enseigne abat un nouvel atout pour densifier son maillage de territoire.
La Mie Câline revoit ses objectifs d’expansion à la hausse. Outre la conquête de nouveaux territoires, selon la taille et le potentiel de chaque ville, les magasins existants pourraient être suppléés par 1 à 3 point de vente de périphérie.
Le modèle économique du format « périphérie » se traduit par :
- 500 clients/jour, un taux de récupération de 2 à 5% (selon la qualité de l’emplacement et le flux de véhicules),
- une double activité : VAE* et restauration assise, un panier moyen supérieur au centre-ville (jusqu’à 5 € selon le mix produit),
- un projet économiquement plus accessible (droit au bail minoré),
- un magasin plus spacieux, plus facile à travailler (de plain pied),
- une masse salariale identique, un seuil de rentabilité inférieur
- 620.000 € de C.A. en année 1 (C.A. constaté à Saint-Quentin), 700.000 € en année 2 (prévisionnel Saint-Quentin) soit le chiffre d’affaires moyen réalisé par un La Mie Câline de centre-ville.